Individual Differences in Cognitive Map Accuracy

Investigating the Role of Landmark Familiarity

  • Youngson, Nicole L.
  • Vollebregt, Meghan
  • Sutton, Jennifer E.
Canadian Journal of Experimental Psychology 73(1):p 37-46, March 2019. | DOI: 10.1037/cep0000165

Broad individual differences exist in the ability to create a cognitive map of a new environment. The current studies investigated whether familiarizing participants with to-be-learned target landmarks (Experiment 1) or target landmarks plus the order they would be encountered along routes (Experiment 2) before exploring the Silcton virtual environment would increase performance on tasks assaying spatial memory of Silcton. Participants in both experiments were randomly assigned to be pre-exposed either to information about target landmarks in Silcton or control landmarks on the university campus. In both experiments, participants explored Silcton via four prescribed routes and then performed a direction estimation task and a map building task based on memory for the locations of the target landmarks. In addition, participants completed the Spatial Orientation Test of perspective-taking. Pre-exposure to Silcton landmarks versus control landmarks did not affect scores on Silcton-based tasks in either experiment. Some sex differences in direction estimation were observed in Experiment 1 but not Experiment 2. While facilitating familiarity with landmarks did not improve cognitive map accuracy, both sex and perspective taking ability were found to contribute to individual differences in the ability to create a cognitive map.

On relève d’importantes différences individuelles dans la capacité à créer une carte cognitive d’un nouvel environnement. Les études en cours ont examiné si le fait de familiariser les participants avec des points de repère cibles à apprendre (Expérience 1) ou avec des points de repère cibles en spécifiant l’ordre dans lequel ils seraient rencontrés le long des routes (Expérience 2) avant d’explorer l’environnement virtuel de Silcton pouvait améliorer les performances relativement à des tâches de mémoire spatiale de Silcton. Les participants des deux expériences ont été choisis au hasard pour être préexposés soit à l’information sur les points de repère cibles de Silcton ou à celle des points de repère de contrôle sur le campus de l’université. Dans les deux expériences, les participants ont exploré Silcton selon quatre routes imposées, puis effectué une tâche d’estimation de la direction et une tâche de production d’une carte en se basant sur leur mémoire des emplacements des points de repère cibles. Les participants ont également suivi le test d’orientation spatiale en matière de prise de perspective. Une préexposition aux points de repère de Silcton par rapport à des points de repère de contrôle n’a pas affecté les résultats des tâches basées sur Silcton dans ni l’une ni l’autre des expériences. Certaines des différences au niveau du sexe dans l’estimation de la direction ont été notées dans l’Expérience 1 mais pas dans l’expérience 2. Alors que le fait de faciliter la familiarité avec des points de repère n’a pas amélioré la précision des cartes cognitives, le sexe et la capacité à prendre une perspective ont tous les deux contribué aux différences individuelles en termes de capacité à créer une carte cognitive.

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