Association of the – 1087 IL 10 gene polymorphism with severe chronic periodontitis in Swedish CaucasiansAssoziation des −1087-IL10-Genpolymorphismus mit einer schweren chronischen Parodontitis bei Schwedischen KaukasiernAssociation entre le polymorphisme du gène IL10 (-1087) et la parodontite chronique sévère chez les suèdois caucasiens
- Berglundh, Tord
- Donati, Mauro
- Hahn-Zoric, Mirjana
- Hanson, Lars-Å.
- Padyukov, Leonid
Abstract Zusammenfassung Résumé
Background
Severe forms of periodontitis are suggested to have a genetic basis.
Objective
The aim of the present investigation was to study association of an IL10 gene polymorphism (G to A transition at the −1087 position) with severe chronic periodontitis.
Materials & methods
Two groups of Swedish Caucasian subjects were included. One group consisted of 60 patients (aged 36–74 years; mean 54.5±8.5) with severe and generalized chronic periodontitis. The patients exhibited bone loss >50% at all teeth. Thirty-nine periodontally healthy subjects between 35–78 years of age (mean 51.0±10.9) were also recruited. DNA was isolated from peripheral blood cells and genotyping was performed by combination of PCR with restriction endonuclease mapping.
Results
The proportion of subjects that exhibited the GG genotype was significantly larger in the group with severe periodontitis than in the periodontally healthy group. The difference regarding the occurrence of the GG genotype between the two groups was more conspicuous in non-smokers and yielded an odds ratio of 6.1. The G allele carriage in non-smokers was >90 % in the periodontitis group and was significantly higher than in the healthy controls.
Conclusion
It is suggested that the −1087 IL10 polymorphism in Caucasian subjects of a north European origin is associated with severe chronic periodontitis.
Hintergrund
Man vermutet, dass schwere Formen der Parodontitis eine genetische Grundlage haben.
Ziele
Das Ziel der vorliegenden Untersuchung war es die Assoziation des IL10-Genpolymorphismus (G zu A Transition an der −1087-Position) mit einer schweren chronischen Parodontitis zu studieren.
Material & Methoden
Zwei Gruppen von Schwedischen kaukasischen Patienten wurden aufgenommen. Eine Gruppe bestand aus 60 Patienten (Alter 36 – 74 Jahre, Durchschnitt 54,5±8,5) mit schwerer und generalisierter chronischer Parodontitis. Die Patienten wiesen bei>50% aller Zähne Knochenabbau auf. Neununddreißig parodontal gesunde Personen im Alter zwischen 35 – 78 Jahren (Durchschnitt 51,0±10,9) wurden ebenso aufgenommen. Die DNA wurde aus peripheren Blutzellen isoliert und die Genotypisierung wurde mittels einer Kombination aus PCR und Restriktions-Endonuklease-Mapping durchgeführt.
Ergebnisse
Der Anteil der Personen, welche den GG-Genotyp aufwiesen war in der Gruppe mit schwerer Parodontitis signifikant größer, als in der Gruppe der parodontal Gesunden. Der Unterschied zwischen den 2 Gruppen hinsichtlich des Auftretens des GG-Genotyps war bei den Rauchern auffälliger und erzielte eine Odds Ratio von 6,1. Das Tragen der G-Allele bei Nichtrauchern war in der Parodontitis-Gruppe signifikant höher als bei den gesunden Kontrollen.
Schlussfolgerung
Es wird angenommen, dass der -1087 IL10-Polymorphismus bei kaukasischen Personen von nordeuropäischer Herkunft mit schwerer chronischer Parodontitis assoziiert ist.
Des formes sévères de parodontite auraient une base génétique. Le but de l'étude présente a été d'étudier l'association entre le polymorphisme du gène IL10 (transition G à A dans la position -1087) avec la parodontite chronique sévère. Deux groupes de suèdois caucasiens ont été inclus dans cette étude. Un groupe comprenait 60 patients âgés de 36 à 74 ans (55±9) avec une parodontite chronique généralisée et sévère. Les patients avaient une perte osseuse>50% au niveau de toutes leurs dents. Trente-neuf sujets sains du point de vue parodontal de 35 à 78 ans (51±11) ont également été recrutés. L'ADN a été isolé de cellules du sang périphérique et le génotype a été analysé par une combinaison de PCR avec la localisation de l'endonucléase restrictive. La proportion de sujets qui avaient le génotype GG était significativement plus importante dans le groupe avec parodontite sévère que dans le groupe sain. La différence en ce qui concerne la présence du génotype GG entre les deux groupes était plus évidente chez les non-fumeurs et apportait un facteur de risque de 6,1. La présence de l'allèle G chez les non-fumeurs était supérieure à 90% dans le groupe avec parodontite et était significativement plus importante que chez les contrôles sains. Le polymorphisme du gène IL10 (-1087) chez les sujets caucasiens d'origine nord-européenne serait donc associéà une parodontite chronique sévère.